Ps 39
toujours ils rediront : « Le Seigneur est
grand ! » ceux qui aiment ton salut.
18 Je suis pauvre et malheureux,
mais le Seigneur pense à moi.
Tu es mon secours, mon libérateur : mon
Dieu, ne tarde pas !
Viens Esprit Saint, viens Esprit de joie et
d’allégresse, viens réjouir nos cœurs qui te cherchent et veulent t’accueillir.
Mais tu seras l'allégresse et la joie de
tous ceux qui te cherchent : aux souhaits de malheur des 2 versets
précédents s’opposent des promesses de bonheur car à ceux qui font le mal s’opposent
ceux qui cherchent Dieu. Le Seigneur sera lui-même l’allégresse et la joie de
ceux qui le cherchent : quelle promesse !
toujours ils rediront : « Le Seigneur est
grand ! » ceux qui aiment ton salut : les uns disaient « c’est
bien fait », les autres disent « le Seigneur est grand » :
chercher le Seigneur et reconnaître sa grandeur.
Je suis pauvre et malheureux, mais le
Seigneur pense à moi : les malheurs sont toujours là, dans le concret
rien n’a sans doute changé, sauf le regard du priant ; à la place de
maudire ses ennemis, il se tourne vers le Seigneur et réalise alors qu’il n’a
pas quitté la pensée de son Dieu, qu’il a le meilleur des défenseurs.
Tu es mon secours, mon libérateur : mon
Dieu, ne tarde pas : comme au
verset 6, l’interpelation est directe : « Toi, mon Dieu » et l’urgence du v. 14 revient aussi : « Viens vite ! ». Le psaume se
termine ainsi sur une belle profession de foi et une preuve d’espérance.
Beaucoup de
ces thèmes de supplication/reconnaissance seront repris dans le psaume suivant.
Seigneur
Dieu, oui, tu es grand, oui, tu penses sans fin à nous, oui, tu es notre
sauveur et notre libérateur. Béni sois-tu.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire