Booz prit
donc Ruth comme épouse, elle devint sa femme et il s’unit à elle. Le Seigneur
lui accorda de concevoir, et elle enfanta un fils. Les femmes de Bethléem
dirent à Noémi : « Béni soit le Seigneur qui aujourd’hui ne t’a pas
laissée sans quelqu’un pour te racheter ! Que son nom soit célébré en
Israël !
Ruth 4,
13-14 Traduction liturgique
Viens
Esprit de vie et de communion, dépose en nos cœurs la Parole, qu’elle y porte
vie et bénédiction.
Booz prit donc Ruth comme épouse, elle devint sa
femme et il s’unit à elle.
Booz qui
n’a pas tardé à convoquer le racheteur potentiel, pour régler avec lui qui
allait racheter Ruth, ne tarde pas maintenant à poursuivre. Il est racheteur,
il épouse Ruth. Et comme pour confirmer ce fait le narrateur nous l’exprime
trois fois : il la prend pour épouse ; elle devint sa femme ; il
s’unit à elle. Alliance plus que d’un instant, il fait de cette étrangère sa
femme. Il l’aime.
Le Seigneur
lui accorda de concevoir, et elle enfanta un fils.
Ruth a
vécu dix ans mariée avec le fils de Noémi, elle n’en a pas eu d’enfant. Ici dès
son union avec Booz, elle conçoit et enfante un fils.
Les femmes de Bethléem dirent à Noémi :
« Béni soit le Seigneur qui aujourd’hui ne t’a pas laissée sans quelqu’un
pour te racheter ! Que son nom soit célébré en Israël !
Le peuple
et les anciens avaient béni Booz pour sa générosité, pour sa volonté de prendre
Ruth pour épouse et d’assurer une descendance à cette famille décimée. Ils
avaient appelé la bénédiction sur Ruth en la rangeant parmi les matriarches du
peuple de Dieu. Voici que les femmes étendent maintenant la bénédiction sur
Noémi. Noémi qui était rentrée des champs de Moab vide, désolée, est maintenant
comblée. Elle retrouve pleinement son nom, qui dit la grâce de Dieu.
Et le
salut de cette famille devient joie pour tout le peuple, pour toute la cité d’Israël.
Seigneur
béni sois-tu pour la puissance de vie que tu suscites en l’humain. Béni sois-tu
pour ta bénédiction, partage de cette vie que tu répands sur notre terre.
Seigneur,
ton amour nous comble, donne-nous de l’accueillir, de le partager.
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