Ch 13
1 Quand Ephraïm parlait, il portait, lui, la terreur en
Israël.
Mais par Baal il s’est rendu coupable
et il en est mort.
2 A présent ils continuent de pécher :
ils se sont fait un ouvrage en fonte,
de leur argent – avec leur technique – des idoles !
Produit d’artisans que tout cela.
C’est à leur propos que l’on dit :
« Des sacrificateurs, des hommes,
offrent des baisers à des veaux. »
3 C’est pourquoi ils seront comme la nuée du matin
et comme la rosée matinale qui passe,
comme de la paille qui tourbillonne loin de l’aire
et comme de la fumée qui sort d’une ouverture.
Mais par Baal il s’est rendu coupable
et il en est mort.
2 A présent ils continuent de pécher :
ils se sont fait un ouvrage en fonte,
de leur argent – avec leur technique – des idoles !
Produit d’artisans que tout cela.
C’est à leur propos que l’on dit :
« Des sacrificateurs, des hommes,
offrent des baisers à des veaux. »
3 C’est pourquoi ils seront comme la nuée du matin
et comme la rosée matinale qui passe,
comme de la paille qui tourbillonne loin de l’aire
et comme de la fumée qui sort d’une ouverture.
Viens Esprit Saint,
viens rendre féconde cette parole en nos cœurs.
Quand Ephraïm
parlait, il portait, lui, la terreur en Israël. Mais par Baal il s’est
rendu coupable et il en est mort : en ce chapitre 13, nous allons
jusqu’à la mort d’Israël avant que ne surgisse enfin la voix libératrice en
toute fin de ce livre. Nous y rencontrerons aussi plusieurs versets à la
traduction difficile. Dans ce cas-ci, une autre version semble plus claire :
« «Quand Éphraïm parlait, c’était
une terreur ; il s’éleva (il était prince) en Israël : mais il se rendit
coupable par Baal, et mourut.»
A présent ils continuent de pécher : ils se sont fait un ouvrage en fonte, de leur argent – avec leur technique – des idoles ! Produit d’artisans que tout cela. C’est à leur propos que l’on dit : « Des sacrificateurs, des hommes, offrent des baisers à des veaux. » : le prophète poursuit sa description de la condition d’Éphraïm. Cette tribu avait reçu une autorité de Dieu, une place à part en Israël. Mais elle a tout perdu par l’idolâtrie de Baal et par les veaux de Béthel, œuvre de mains d’homme. Idolâtrie qu’Osée décrit avec beaucoup d’ironie, en reprenant peut-être un dicton populaire. Quel sera leur sort?
C’est pourquoi ils seront comme la nuée du matin et comme la rosée matinale qui passe, comme de la paille qui tourbillonne loin de l’aire et comme de la fumée qui sort d’une ouverture : que restera-t-il d’eux ? Pour ainsi dire rien : autant chercher à retrouver la nuée, la rosée, la paille envolée ou la fumée…
Seigneur Jésus, sans toi nos œuvres sont vaines. Eclaire
notre route en ce jour, sois à nos côtés, pour que nous puissions construire
sur le roc.
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