Après que se sera levé le maître de maison et qu’il aura fermé la
porte, si vous commencez, vous tenant dehors, à frapper la porte disant :
« Seigneur, ouvre-nous », ayant répondu, il vous dira :
« Je ne sais pas d’où vous êtes ».
Luc 13, 25
Viens Esprit, fais nous
comprendre cette parole
Viens Esprit, sois en nous
vigilance et persévérance.
Après que se sera levé le
maître de maison et qu’il aura fermé la porte,
Jésus vient de nous dire de nous efforcer d’entrer par la porte
étroite, et voici qu’il nous dit maintenant, qu’en plus, un jour cette porte
sera fermée. Nous ne pouvons négliger le temps qui passe, il est un temps
offert qui ne reviendra plus. Jésus ne veut pas jouer la terreur, mais nous
mettre devant nos responsabilités, devant le choix que nous avons à faire, et
que nous ne pouvons reporter indéfiniment. Devant nous est la porte du Royaume,
ouverte… mais elle ne le sera pas toujours. Il y a une invitation, une
proposition qui attend notre oui.
si vous commencez, vous tenant dehors, à frapper
la porte disant : « Seigneur, ouvre-nous »,
Le royaume est souvent comparé à une noce, les invités sont nombreux,
mais répondront-ils. Une fois le maître levé, il ferme la porte, ceux qui sont
restés dehors vont se mettre à frapper… mais pourquoi ont-ils attendu ?
pourquoi ont-ils tardé ?
ayant répondu, il vous
dira : « Je ne sais pas d’où vous êtes ».
La réponse semble cruelle… je ne
sais d’où vous êtes… Pour être reconnu « de Dieu », il faut le
choisir tandis que cela nous est offert.
Jésus nous presse, si nous avons cette chance d’avoir rencontré son message,
d’avoir entendu sa voix, il attend une réponse. Si nous avons reçu son
invitation, il nous faut accueillir avec, l’urgence qu’il y a à choisir d’y
répondre, et à y répondre effectivement par toute notre vie.
Seigneur, ouvre mon cœur à ta parole. Ouvre ma vie à t’accueillir.
Tu me presses de marcher avec toi, de choisir le Royaume avec toi,
donne-moi de te répondre sans retard. Que je m’engage à chaque instant à vivre
pour toi.
Seigneur, fais que je ne reporte pas à demain, l’invitation que tu me
lances.
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