Quiconque commet le péché, commet aussi l’iniquité. Et le péché, c’est
l’iniquité. Et vous savez que celui-là a été manifesté pour enlever les péchés.
Et en lui il n’est pas de péché.
1 Jn 3, 4-5
Viens
Esprit de Jésus, clarifie notre regard, clarifie notre cœur.
Viens
Esprit de Jésus, sois en nous lecteur de cette Parole, donne-nous de la
recevoir et d’en vivre.
Quiconque commet le péché,
commet aussi l’iniquité.
Entre péché et iniquité quelle nuance ? le péché est varié :
diverses sont les fautes que nous pouvons commettre. L’iniquité est
l’opposition à Dieu. En ce sens elle est à la racine de tous les péchés, elle
en est comme le fondement, la pierre de fondation. L’iniquité absolue est le
refus total de Dieu.
Et le péché, c’est
l’iniquité.
Aussi Le Péché absolu c’est bien l’opposition totale, radicale à Dieu.
On voit ici que Jean s’attache à cette faute primordiale qui fait se dresser
l’homme contre son créateur. Et devant ce tableau nous pourrions être effrayés…
mais Jean continue :
Et vous savez que celui-là a
été manifesté pour enlever les péchés.
Celui-là, c'est-à-dire le Christ. Il est apparu, il a été manifesté, il
s’est incarné, il est mort et ressuscité. Toute sa vie est vouée au salut. Lui
a ce pouvoir d’enlever les péchés. Si l’iniquité absolue existe, elle n’est pas
la plus forte puissance. Jésus a ce pouvoir d’enlever les péchés. Il est
victorieux du mal. C’est bien un chant d’espérance qui s’élève de ce passage de
la lettre de Jean.
Et en lui il n’est pas de
péché.
Lui, Jésus, est indemne de tout péché. Il est un être où le péché n’a
nulle prise. Le péché reste en deçà de lui, il n’a pas tout pouvoir. En lui,
nous trouvons le pardon. En lui, nous avons la vie.
Seigneur, je te bénis pour ton amour. Je te bénis pour la vie qui est
en toi et que tu nous partages. Tu enlèves nos péchés. Tiens-nous en la
confiance, auprès de toi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire