5 L'homme de bien a pitié, il partage ;
il mène ses affaires avec droiture.
6 Cet homme jamais ne tombera ;
toujours on fera mémoire du juste.
7 Il ne craint pas l'annonce d'un malheur :
le cœur ferme il s'appuie sur le Seigneur.
Viens Esprit de force et de confiance.
« L'homme de bien » : quel beau nom ! Il n'est pas replié sur lui-même, il regarde les autres et se laisse toucher. La pitié, une des caractéristique de Dieu, non une pitié mièvre et condescendante, mais une pitié qui prend aux entrailles, bouleverse le cœur. Non une émotion qui sera chassée par la prochaine image forte ! Mais qui m'engage et m'incite à me rapprocher de l'autre avec sollicitude et respect… comme le Bon Samaritain de la parabole (Luc 10, 29-37 voir aussi versets 25-28).
Partager, de ses biens, mais aussi de son temps, de ses compétences etc. Pas facile ! Et pourtant source de joie vraie et profonde.
Mener ses affaires, son travail, ses relations...toute sa vie avec droiture, sans tricher ni mentir, sans rigidité non plus… Aïe, aïe ! Mais quelle belle perspective!
Est-il possible de ne jamais tomber? Pas sûr! Mais il est possible de se relever après chaque chute et de recommencer; se relever seul, ou avec l'aide d'autrui, ou celle de Dieu. Faire mémoire, terme fort, liturgique: le peuple fait mémoire de la sortie d'Égypte, du retour d'Exil et de l'oeuvre de salut de Dieu: ces événements sont rendus présents pour aujourd'hui, ils se réalisent aujourd'hui pour celui qui en fait mémoire... Faire ainsi mémoire du juste c'est en faire un témoin, signe vivant de l'oeuvre de Dieu. Comme nos saints, canonisés ou non sont des témoins de l'action transformante de Dieu et nous montrent la route.
D'où vient la force de ce témoin? De sa confiance dans le Seigneur: Il sait en qui il a mis sa foi et que le Seigneur le garde (cf.2 Timothée 1,12). Cela ne veut pas dire que "l'annonce d'un malheur" ne le fera pas tomber; mais avec l'aide du Seigneur, il ne sera pas submergé, il puisera l'énergie de la résilience. Il n'est pas seul, le Seigneur est avec lui dans son épreuve (cf. Psaume 90,14-16)
Seigneur, viens faire de moi et de ceux que je porte en mon coeur, une personne de bien.
Sois ma force et ma confiance dans l'épreuve.
"Je t'aime, Seigneur, ma force: Seigneur, mon roc, ma forteresse.
Dieu mon libérateur, le rocher qui m'abrite, mon bouclier, mon fort, mon arme de victoire!" (Psaume 17,2-4)
Partager, de ses biens, mais aussi de son temps, de ses compétences etc. Pas facile ! Et pourtant source de joie vraie et profonde.
Mener ses affaires, son travail, ses relations...toute sa vie avec droiture, sans tricher ni mentir, sans rigidité non plus… Aïe, aïe ! Mais quelle belle perspective!
Est-il possible de ne jamais tomber? Pas sûr! Mais il est possible de se relever après chaque chute et de recommencer; se relever seul, ou avec l'aide d'autrui, ou celle de Dieu. Faire mémoire, terme fort, liturgique: le peuple fait mémoire de la sortie d'Égypte, du retour d'Exil et de l'oeuvre de salut de Dieu: ces événements sont rendus présents pour aujourd'hui, ils se réalisent aujourd'hui pour celui qui en fait mémoire... Faire ainsi mémoire du juste c'est en faire un témoin, signe vivant de l'oeuvre de Dieu. Comme nos saints, canonisés ou non sont des témoins de l'action transformante de Dieu et nous montrent la route.
D'où vient la force de ce témoin? De sa confiance dans le Seigneur: Il sait en qui il a mis sa foi et que le Seigneur le garde (cf.2 Timothée 1,12). Cela ne veut pas dire que "l'annonce d'un malheur" ne le fera pas tomber; mais avec l'aide du Seigneur, il ne sera pas submergé, il puisera l'énergie de la résilience. Il n'est pas seul, le Seigneur est avec lui dans son épreuve (cf. Psaume 90,14-16)
Seigneur, viens faire de moi et de ceux que je porte en mon coeur, une personne de bien.
Sois ma force et ma confiance dans l'épreuve.
"Je t'aime, Seigneur, ma force: Seigneur, mon roc, ma forteresse.
Dieu mon libérateur, le rocher qui m'abrite, mon bouclier, mon fort, mon arme de victoire!" (Psaume 17,2-4)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire