dimanche 19 août 2012

Qui d'entre vous...

Et il leur dit : « Qui d’entre vous, ayant un ami, s’en va le trouver au milieu de la nuit et lui dit : ‘Mon ami, prête-moi trois pains, car un de mes amis en chemin s’est rendu près de moi, et je n’ai pas de quoi lui offrir’. Et que de l’intérieur l’autre lui réponde : ‘Ne me procure pas de tracas, déjà la porte se trouve fermée, et mes enfants et moi sommes au lit. Je ne peux pas m’étant levé te les donner’. Je vous le dis : ‘Même si s’étant levé, il ne lui les donne pas en raison de ce qu’il est son ami, en raison de son impudence il lui donnera autant qu’il a besoin. » 
Luc 11, 5-8

Viens Esprit de Dieu,
Viens nous apprendre à demander, dans la prière, ce dont nos frères et sœurs humains ont besoin
Viens nous apprendre la confiance en toi.

Et il leur dit : « Qui d’entre vous, ayant un ami, s’en va le trouver au milieu de la nuit
Pour nous parler du royaume, de la prière, du Père des cieux, Jésus parle en parabole, raconte une histoire… en interpellant : qui d’entre vous ?

 et lui dit : ‘Mon ami, prête-moi trois pains, car un de mes amis en chemin s’est rendu près de moi, et je n’ai pas de quoi lui offrir’. Et que de l’intérieur l’autre lui réponde : ‘Ne me procure pas de tracas, déjà la porte se trouve fermée, et mes enfants et moi sommes au lit. Je ne peux pas m’étant levé te les donner’.
La situation semble clairement plantée… l’ami ne va pas répondre favorablement, semble dire le début de ce récit…

 Je vous le dis : ‘Même si s’étant levé, il ne lui les donne pas en raison de ce qu’il est son ami, en raison de son impudence il lui donnera autant qu’il a besoin. » 
Et c’est là que l’histoire rebondit… même si le premier mouvement risque d’être un refus, devant l’audace de la demande, l’ami finit par obtempérer… que ce soit par amitié, ou par simple souci de retrouver la paix perdue un moment…

Seigneur, toi, tu es l’ami fidèle, Dieu ami des hommes dit un texte du Premier Testament. Jamais ta bonté à notre égard ne sera prise en défaut. Si nous savons nous lever, nous laisser déranger par un ami, quelque peu importun, combien plus, toi, tu sauras accueillir nos requêtes ! Seigneur, apprends-moi à te prier !

Aucun commentaire: