Ps 17
17 Des hauteurs il tend la main pour me saisir,
il me retire du gouffre des eaux ;
17 Des hauteurs il tend la main pour me saisir,
il me retire du gouffre des eaux ;
18 il me délivre d'un puissant ennemi,
d'adversaires plus forts que moi.
d'adversaires plus forts que moi.
19 Au jour de ma défaite ils m'attendaient,
mais j'avais le Seigneur pour appui.
mais j'avais le Seigneur pour appui.
20 Et lui m'a dégagé, mis au large,
il m'a libéré, car il m'aime.
il m'a libéré, car il m'aime.
Viens Esprit Saint, révèle-moi ton amour au travers de cette parole : qu'elle illumine ma journée.
Des hauteurs il tend la main pour me saisir, il me retire du gouffre des eaux ; il me délivre d'un puissant ennemi, d'adversaires plus forts que moi : nous voyons bien ici combien les images n'ont aucun sens en soi, qu'elles sont au service de cette impossible description de qui est Dieu et quelle est son œuvre. Ainsi le fond des mers vient de se découvrir mais le priant est englouti ; et voici que Dieu qui était descendu se retrouve dans les hauteurs. Dieu se cache, se dérobe, mais il fait entendre sa voix et répand la terreur. Chaque symbole pourrait être étudié, mais regardons plutôt ce geste du Seigneur qui tend la main pour retirer du gouffre, pour libérer, délivrer.
Au jour de ma défaite ils m'attendaient, mais j'avais le Seigneur pour appui : le psalmiste a connu la défaite et le salut. Il témoigne de l'action de son Dieu qui dégage, met au large : l'inverse des liens et des pièges (v. 5-6).
Et lui m'a dégagé, mis au large, il m'a libéré : « Etre mis au large » ! Porter son regard plus loin que nos égocentrismes. La liberté est offerte pour se tourner vers les autres.
car il m'aime : cette première partie du psaume est ainsi encadrée : entre « Je t'aime » (v.1) et « il m'aime » (v.20). Il y a de quoi faire ici une pause dans le chant pour méditer cet amour entre deux êtres, entre le psalmiste et son Seigneur. Amour qui est plus fort que la mort si vigoureusement décrite dans l'entre-deux.
Seigneur Dieu, donne-moi un cœur large, que je n'aie d'autres soucis que de répandre, de partager tous les dons dont je suis l'objet : ton amour d'abord, et ce salut, cette liberté que tu m'offres.
Des hauteurs il tend la main pour me saisir, il me retire du gouffre des eaux ; il me délivre d'un puissant ennemi, d'adversaires plus forts que moi : nous voyons bien ici combien les images n'ont aucun sens en soi, qu'elles sont au service de cette impossible description de qui est Dieu et quelle est son œuvre. Ainsi le fond des mers vient de se découvrir mais le priant est englouti ; et voici que Dieu qui était descendu se retrouve dans les hauteurs. Dieu se cache, se dérobe, mais il fait entendre sa voix et répand la terreur. Chaque symbole pourrait être étudié, mais regardons plutôt ce geste du Seigneur qui tend la main pour retirer du gouffre, pour libérer, délivrer.
Au jour de ma défaite ils m'attendaient, mais j'avais le Seigneur pour appui : le psalmiste a connu la défaite et le salut. Il témoigne de l'action de son Dieu qui dégage, met au large : l'inverse des liens et des pièges (v. 5-6).
Et lui m'a dégagé, mis au large, il m'a libéré : « Etre mis au large » ! Porter son regard plus loin que nos égocentrismes. La liberté est offerte pour se tourner vers les autres.
car il m'aime : cette première partie du psaume est ainsi encadrée : entre « Je t'aime » (v.1) et « il m'aime » (v.20). Il y a de quoi faire ici une pause dans le chant pour méditer cet amour entre deux êtres, entre le psalmiste et son Seigneur. Amour qui est plus fort que la mort si vigoureusement décrite dans l'entre-deux.
Seigneur Dieu, donne-moi un cœur large, que je n'aie d'autres soucis que de répandre, de partager tous les dons dont je suis l'objet : ton amour d'abord, et ce salut, cette liberté que tu m'offres.
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