3,1 Jésus entra de nouveau dans la synagogue ; il y avait là un homme dont la main était atrophiée. 2 On observait Jésus pour voir s’il le guérirait le jour du sabbat. C’était afin de pouvoir l’accuser. 3 Il dit à l’homme qui avait la main atrophiée : « Lève-toi, viens au milieu. » 4 Et s’adressant aux autres : « Est-il permis, le jour du sabbat, de faire le bien ou de faire le mal ? de sauver une vie ou de tuer ? » Mais eux se taisaient.
Viens Esprit de discernement, viens nous montrer le bien à faire.
Viens prier en nos cœurs.
La dernière fois que Jésus est entré dans la synagogue il a guéri un homme tourmenté par un esprit impur. Aujourd’hui il y entre et cette fois c'est un homme à la main atrophiée, paralysée. La main permet d'agir, de travailler. L'homme est donc atteint à la fois dans son être et dans son agir.
Jésus est l'objet d'une surveillance attentive et malveillante. On l'épie, on l'observe : que va-t-il faire ? S'il guérit l'homme il enfreint de nouveau le sabbat, et s'il ne le guérit pas...
N'oublions pas que le passage qui précède immédiatement est la controverse sur les épis arrachés par les disciples qui se termine par « le sabbat a été fait pour l'homme et non l'homme pour le sabbat. Voilà pourquoi le Fils de l'homme est maître, même du sabbat ».
Jésus déplace le centre : ce qui est important ce n'est pas lui, mais l'homme handicapé qu'il invite à se placer au milieu : Regardez-le ! Vous êtes, non devant un cas, mais une personne et cela change tout ! Et en même temps il lui dit « Lève-toi », un des mots que le Nouveau Testament utilise pour exprimer la Résurrection de Jésus. Cet homme est ainsi réhabilité avant même sa guérison.
« Est-il permis, le jour du sabbat, de faire le bien ou de faire le mal ? de sauver une vie ou de tuer ? »Jésus en les interrogeant les obligent à se positionner en vérité sur une question fondamentale, vitale, et non sur des commandements extérieurs. En fait il les remet devant le but des commandements qui est de conduire à la vie, de favoriser des relations justes avec Dieu et avec les autres. Il leur est difficile de répondre par « non » ! Ils préfèrent le silence, peut-être par forcément parce que Jésus les a « coincés », mais aussi pour retourner sa question en leur cœur et leur tête. Car Jésus a bien retourné la question.
Seigneur Jésus ouvre mon cœur pour que je regarde chaque personne que tu places sur ma route, quelles que soient ce qui me dérange, comme un frère, une sœur, à aimer. Que je ne m'arrête pas aux apparences, mais regarde la personne.Que mon regard soit une invitation à se mettre debout, à occuper la juste place, à la vie.
Jésus est l'objet d'une surveillance attentive et malveillante. On l'épie, on l'observe : que va-t-il faire ? S'il guérit l'homme il enfreint de nouveau le sabbat, et s'il ne le guérit pas...
N'oublions pas que le passage qui précède immédiatement est la controverse sur les épis arrachés par les disciples qui se termine par « le sabbat a été fait pour l'homme et non l'homme pour le sabbat. Voilà pourquoi le Fils de l'homme est maître, même du sabbat ».
Jésus déplace le centre : ce qui est important ce n'est pas lui, mais l'homme handicapé qu'il invite à se placer au milieu : Regardez-le ! Vous êtes, non devant un cas, mais une personne et cela change tout ! Et en même temps il lui dit « Lève-toi », un des mots que le Nouveau Testament utilise pour exprimer la Résurrection de Jésus. Cet homme est ainsi réhabilité avant même sa guérison.
« Est-il permis, le jour du sabbat, de faire le bien ou de faire le mal ? de sauver une vie ou de tuer ? »Jésus en les interrogeant les obligent à se positionner en vérité sur une question fondamentale, vitale, et non sur des commandements extérieurs. En fait il les remet devant le but des commandements qui est de conduire à la vie, de favoriser des relations justes avec Dieu et avec les autres. Il leur est difficile de répondre par « non » ! Ils préfèrent le silence, peut-être par forcément parce que Jésus les a « coincés », mais aussi pour retourner sa question en leur cœur et leur tête. Car Jésus a bien retourné la question.
Seigneur Jésus ouvre mon cœur pour que je regarde chaque personne que tu places sur ma route, quelles que soient ce qui me dérange, comme un frère, une sœur, à aimer. Que je ne m'arrête pas aux apparences, mais regarde la personne.Que mon regard soit une invitation à se mettre debout, à occuper la juste place, à la vie.
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