05 Qui est semblable au Seigneur notre Dieu ?
Lui, il siège là-haut.
06 Mais il abaisse son regard
vers le ciel et vers la terre.
07 De la poussière il relève le faible,
il retire le pauvre de la cendre
08 pour qu'il siège parmi les princes,
parmi les princes de son peuple.
09 Il installe en sa maison la femme stérile,
heureuse mère au milieu de ses fils.
Viens Esprit de confiance, viens prier en moi, viens m'aider à saisir la main tendue.
Incroyable, mais vrai ! Personne ne peut lui être comparé, il est au dessus de tout et de tous...
Et pourtant le Seigneur abaisse son regard, non seulement vers le ciel et la terre, mais surtout vers le faible, le pauvre, la femme stérile (la stérilité est signe de grande malédiction, c'est une forme de mort puisque la vie n'est pas transmise) : tous ceux justement que l'on évite de regarder !
Et ils sont si nombreux aujourd'hui, chez nous et dans le monde ! S'il abaisse son regard, ce n'est pas de la condescendance, c'est un regard brûlant d'amour, le regard de Jésus sur le jeune homme (Marc 10,20), sur Pierre après le reniement (Luc 22,61) : un regard qui fait naître la vie.
Il regarde, il relève, il retire de la poussière : il restaure dans la plus belle dignité, celle d'enfant de Dieu. « Voyez quel grand amour nous a donné le Père pour que nous soyons appelés enfants de Dieu – et nous le sommes. » (1 Jean 3,1). Dignité plus que princière !
À celle, à celui, dont la vie est stérile, il donne une belle fécondité, pas forcément visible, mais que lui connaît ; et que nous découvrirons un jour.
Une mère au milieu de ses fils… et de ses filles ! Et pas n'importe où, mais dans la maison du Seigneur. Joie de la vie transmise, vie naturelle, vie filiale, vie fraternelle. Communion de vie , vie en communion, avec Dieu et avec les autres. Complémentarité. Joie de la relation.
L'invitation initiale à louer le nom du Seigneur est un chemin de résurrection qui mène à la communion fraternelle et qui rend ma vie féconde! Chemin de bonheur authentique.
Seigneur donne-moi d'accueillir ton regard d'amour posé sur moi.
De te laisser me saisir la main et me relever de ma poussière, de tout ce qui m'englue.
Fais grandir en mon cœur l'amour filial et fraternel.
Que ma vie porte du fruit pour ta plus grande gloire.
Et pourtant le Seigneur abaisse son regard, non seulement vers le ciel et la terre, mais surtout vers le faible, le pauvre, la femme stérile (la stérilité est signe de grande malédiction, c'est une forme de mort puisque la vie n'est pas transmise) : tous ceux justement que l'on évite de regarder !
Et ils sont si nombreux aujourd'hui, chez nous et dans le monde ! S'il abaisse son regard, ce n'est pas de la condescendance, c'est un regard brûlant d'amour, le regard de Jésus sur le jeune homme (Marc 10,20), sur Pierre après le reniement (Luc 22,61) : un regard qui fait naître la vie.
Il regarde, il relève, il retire de la poussière : il restaure dans la plus belle dignité, celle d'enfant de Dieu. « Voyez quel grand amour nous a donné le Père pour que nous soyons appelés enfants de Dieu – et nous le sommes. » (1 Jean 3,1). Dignité plus que princière !
À celle, à celui, dont la vie est stérile, il donne une belle fécondité, pas forcément visible, mais que lui connaît ; et que nous découvrirons un jour.
Une mère au milieu de ses fils… et de ses filles ! Et pas n'importe où, mais dans la maison du Seigneur. Joie de la vie transmise, vie naturelle, vie filiale, vie fraternelle. Communion de vie , vie en communion, avec Dieu et avec les autres. Complémentarité. Joie de la relation.
L'invitation initiale à louer le nom du Seigneur est un chemin de résurrection qui mène à la communion fraternelle et qui rend ma vie féconde! Chemin de bonheur authentique.
Seigneur donne-moi d'accueillir ton regard d'amour posé sur moi.
De te laisser me saisir la main et me relever de ma poussière, de tout ce qui m'englue.
Fais grandir en mon cœur l'amour filial et fraternel.
Que ma vie porte du fruit pour ta plus grande gloire.
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