01 Bénis le Seigneur, ô mon âme,
bénis son nom très saint, tout mon être !
02 Bénis le Seigneur, ô mon âme,
n'oublie aucun de ses bienfaits !
Viens Esprit Saint, viens ouvrir mon coeur
Viens me donner de bénir le Seigneur, en vérité, chaque jour.
Ces versets n'ont pratiquement pas besoin de commentaire !
C'est une invitation à bénir le Seigneur de tout notre être :
l'âme est notre souffle de vie, notre énergie, nos ressources vitales.
La 2ème ligne reprend la 1ère d'une façon différente pour l'enrichir, la compléter, et insister.
« Son nom très saint » renvoie à la vision d'Isaïe :
«les séraphins se criaient l’un à l’autre : « Saint ! Saint ! Saint, le Seigneur de l’univers !
Toute la terre est remplie de sa gloire. » (Isaïe 6,3).
Et dans le Notre Père nous prions « que ton nom soit sanctifié ».
Le psaume nous dit: tout notre être est appelé à reconnaître ce nom très saint
et surtout à le bénir, en dire du bien.
Non pas tant par la parole que par notre vie qui Le rayonne et donne envie à d'autres.
En redoublant l'invitation initiale, le psaume insiste encore et nuance : comment le bénir ?
En n'oubliant aucun de ses bienfaits ! En les faisant remonter à la mémoire de notre cœur.
Le rôle de la mémoire est primordial: C'est un ressort qui permet de rebondir dans la vie,
de relancer notre relation vivante au Seigneur. Cette relation qui nous est toujours offerte... mais que nous laissons les broussailles étouffer en nous!
Seigneur donne-moi de te bénir aujourd'hui de tout mon être.
Que mon coeur fasse mémoire de tout ce que tu as fait pour moi,
pour ceux que je connais, pour l'Église, pour le monde.
Pour tes merveilles en Jésus notre Vie et notre Résurrection.
Pour toutes les fois où tu m'as préservé d'un danger.
Pour toutes les fois où je t'ai découvert à côté de moi, en moi.
Pour toutes les fois où tu m'as porté, relevé, restauré...
C'est une invitation à bénir le Seigneur de tout notre être :
l'âme est notre souffle de vie, notre énergie, nos ressources vitales.
La 2ème ligne reprend la 1ère d'une façon différente pour l'enrichir, la compléter, et insister.
« Son nom très saint » renvoie à la vision d'Isaïe :
«les séraphins se criaient l’un à l’autre : « Saint ! Saint ! Saint, le Seigneur de l’univers !
Toute la terre est remplie de sa gloire. » (Isaïe 6,3).
Et dans le Notre Père nous prions « que ton nom soit sanctifié ».
Le psaume nous dit: tout notre être est appelé à reconnaître ce nom très saint
et surtout à le bénir, en dire du bien.
Non pas tant par la parole que par notre vie qui Le rayonne et donne envie à d'autres.
En redoublant l'invitation initiale, le psaume insiste encore et nuance : comment le bénir ?
En n'oubliant aucun de ses bienfaits ! En les faisant remonter à la mémoire de notre cœur.
Le rôle de la mémoire est primordial: C'est un ressort qui permet de rebondir dans la vie,
de relancer notre relation vivante au Seigneur. Cette relation qui nous est toujours offerte... mais que nous laissons les broussailles étouffer en nous!
Seigneur donne-moi de te bénir aujourd'hui de tout mon être.
Que mon coeur fasse mémoire de tout ce que tu as fait pour moi,
pour ceux que je connais, pour l'Église, pour le monde.
Pour tes merveilles en Jésus notre Vie et notre Résurrection.
Pour toutes les fois où tu m'as préservé d'un danger.
Pour toutes les fois où je t'ai découvert à côté de moi, en moi.
Pour toutes les fois où tu m'as porté, relevé, restauré...
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