Marc 11,18-19
18 Apprenant cela, les grands prêtres et les scribes cherchaient comment le faire périr. En effet, ils avaient peur de lui, car toute la foule était frappée par son enseignement.
19 Et quand le soir tomba, Jésus et ses disciples s’en allèrent hors de la ville.
Viens Esprit d’émerveillement, viens ouvrir nos coeurs.
Le Prophète Jérémie a failli mourir pour s’en être pris au Temple (Jérémie 26,1-19). Un prophète, Ourias es mort pour avoir dénoncer les exactions du peuple (Jérémie 26,20-24). Jésus sait qu’il a pris des risques, d’autant qu’il a depuis longtemps senti l’hostilité dont il était l’objet de la part des grands du peuple. (cf. Marc 3,6)
Jésus pose problème : qui est-il pour agir et parler ainsi ? Car il a posé un acte fort d’autorité dans le Temple où il n’a officiellement aucun pouvoir ! Pire, il remet en cause le système même du Temple et des sacrifices.
Comment le faire périr sans que le peuple se retourne contre ceux qui lui en veulent ? Sa popularité auprès du peuple fait peur : il s’agit de petites gens, sans doute, mais si nombreux ! Une foule frappée de son enseignement. Comme lors du premier signe de Jésus dans la synagogue de Capharnaüm en Marc 1,27-28.
A chaque fois que je lis ou entends ce verset, je suis dans l’émerveillement… et je me demande si, moi aussi, je suis frappée de son enseignement. Pas toujours, hélas !
Le soir Jésus se retire de la ville comme en 11,11 Prudence, discrétion, temps de rencontre avec ses amis de Béthanie, temps de prière au calme de Béthanie? Un peu de tout cela sans doute. Si Jésus interpelle et remet en cause, il ne provoque ni ne prend des risques inutiles. Il est non violent, il n’a pas d’armes et il vient à Jérusalem monté sur un petit âne, (cf. Marc 11,2 et 7) et non sur un cheval de bataille.
Seigneur Jésus donne-moi de savoir prendre de la distance quand je sens de l’agressivité en moi ou autour de moi.
Ouvre mon coeur à ta parole, à ton enseignement : que ton Évangile me renouvelle aujourd’hui et chaque jour.
18 Apprenant cela, les grands prêtres et les scribes cherchaient comment le faire périr. En effet, ils avaient peur de lui, car toute la foule était frappée par son enseignement.
19 Et quand le soir tomba, Jésus et ses disciples s’en allèrent hors de la ville.
Viens Esprit d’émerveillement, viens ouvrir nos coeurs.
Le Prophète Jérémie a failli mourir pour s’en être pris au Temple (Jérémie 26,1-19). Un prophète, Ourias es mort pour avoir dénoncer les exactions du peuple (Jérémie 26,20-24). Jésus sait qu’il a pris des risques, d’autant qu’il a depuis longtemps senti l’hostilité dont il était l’objet de la part des grands du peuple. (cf. Marc 3,6)
Jésus pose problème : qui est-il pour agir et parler ainsi ? Car il a posé un acte fort d’autorité dans le Temple où il n’a officiellement aucun pouvoir ! Pire, il remet en cause le système même du Temple et des sacrifices.
Comment le faire périr sans que le peuple se retourne contre ceux qui lui en veulent ? Sa popularité auprès du peuple fait peur : il s’agit de petites gens, sans doute, mais si nombreux ! Une foule frappée de son enseignement. Comme lors du premier signe de Jésus dans la synagogue de Capharnaüm en Marc 1,27-28.
A chaque fois que je lis ou entends ce verset, je suis dans l’émerveillement… et je me demande si, moi aussi, je suis frappée de son enseignement. Pas toujours, hélas !
Le soir Jésus se retire de la ville comme en 11,11 Prudence, discrétion, temps de rencontre avec ses amis de Béthanie, temps de prière au calme de Béthanie? Un peu de tout cela sans doute. Si Jésus interpelle et remet en cause, il ne provoque ni ne prend des risques inutiles. Il est non violent, il n’a pas d’armes et il vient à Jérusalem monté sur un petit âne, (cf. Marc 11,2 et 7) et non sur un cheval de bataille.
Seigneur Jésus donne-moi de savoir prendre de la distance quand je sens de l’agressivité en moi ou autour de moi.
Ouvre mon coeur à ta parole, à ton enseignement : que ton Évangile me renouvelle aujourd’hui et chaque jour.
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