mardi 23 juillet 2019

Ils amènent l’ânon à Jésus


Marc 11 : 7-8
Ils amènent l’ânon à Jésus
7.Ils amènent l’ânon à Jésus et ils mettent sur lui leurs manteaux et il s’assit dessus.                                       
8.Et beaucoup de gens étendirent leurs manteaux sur le chemin ; d’autres, des jonchées de verdure qu’ils coupaient dans les champs.
 

Viens Esprit de vie, viens habiter nos fragilités et nous ouvrir à Jésus.

Cet épisode de la vie de Jésus correspond à l’accomplissement de la prophétie de Zacharie : (Zach.9,9) Exulte avec force, fille de Sion ! Crie de joie, fille de Jérusalem ! Il est juste et victorieux, humble, monté sur un âne, sur un ânon, le petit d’une ânesse.
Jésus marche donc dans le plan de Dieu et veille à ce que la prophétie s’accomplisse. On peut y retrouver son désir de soumission à la volonté de son Père. Bien que conscient qu’il allait vers une issue tragique, il va manifester sa royauté. Bien sûr l’âne en est un symbole  selon la tradition, mais il s’agit seulement d’un ânon qui ne lui appartient même pas et dont on imagine qu’il doit avoir de la peine à supporter  le poids d’un adulte. Le Seigneur s’appuie même sur nos fragilités pour manifester sa gloire ! Encore un paradoxe ! Autre paradoxe, ou plutôt malentendu, le peuple porte Jésus en triomphe, voyant en lui un libérateur du joug romain. Ou encore, une foule de curieux veulent voir qui est  cet homme dont on dit qu’il fait des prodiges, il vient en effet de ressusciter Lazare.

Seigneur nous t’offrons nos fragilités, qu’elles soient instruments pour témoigner de ta véritable identité.
Nous aussi nous avons souvent de fausses images et de fausses attentes à ton égard , viens corriger notre regard.
Nous t’en prions.
Chantal et Gaston


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